Notre expertise porte sur le financement des exportations, le financement de projets et le financement de la chaîne de valeur. Nos produits vont des accords de financement amicaux basés sur les fonds publics du gouvernement néerlandais pour le financement international aux solutions de capital-risque telles que les fonds propres, la dette ou la mezzanine. Ensemble, nous pouvons soutenir les entreprises à chaque étape de leur maturité.

PROBLUE is a new Multi-Donor Trust Fund, housed at the World Bank, that supports the development of integrated, sustainable and healthy marine and coastal resources

Le ministère de la transition écologique et solidaire a été créé en 1971 sous le nom de ministère de l'Environnement.

Le groupe de la Banque mondiale et le gouvernement du Japon ont créé le Partenariat pour l'investissement dans les infrastructures de qualité (QII) dans le but de sensibiliser et d'accroître l'attention portée aux dimensions qualitatives des infrastructures dans les pays en développement.

L'Agence espagnole de coopération internationale pour le développement (AECID) est le principal organe de gestion de la coopération espagnole, orientée vers la lutte contre la pauvreté et le développement humain durable.

À l'échelle mondiale, le besoin d'infrastructures plus nombreuses et de meilleure qualité est crucial, en particulier face à des défis tels que l'urbanisation, le changement climatique et les conflits. Les ressources publiques ne peuvent à elles seules répondre à ces besoins, ce qui rend la participation du secteur privé essentielle.

Le Fonds nordique de développement (FDN) est une institution conjointe de financement du développement des cinq pays nordiques, à savoir le Danemark, la Finlande, l'Islande, la Norvège et la Suède. Le FDN a été créé en novembre 1988 et a commencé ses activités en février 1989. L'objectif des opérations du FDN est de faciliter les investissements dans le domaine des changements climatiques, principalement dans les pays à faible revenu. Le FDN finance des projets généralement en coopération avec des institutions bilatérales, multilatérales et autres institutions de développement. Les opérations reflètent les priorités des pays nordiques dans les domaines du changement climatique et du développement. Le FDN utilise avec souplesse les subventions, les prêts, les capitaux propres et toute combinaison de ceux-ci comme instruments de financement

Le Fond pour l'environnement mondial (FEM) a été créé à la veille du Sommet de la Terre de Rio en 1992 pour aider à résoudre les problèmes environnementaux les plus urgents de notre planète. Depuis lors, le FEM a fourni plus de 18,1 milliards de dollars en subventions et mobilisé 94,2 milliards de dollars supplémentaires en cofinancement pour plus de 4 500 projets dans 170 pays. Aujourd'hui, le FEM est un partenariat international regroupant 183 pays, des institutions internationales, des organisations de la société civile et le secteur privé qui s'occupe des questions environnementales mondiales

L'Agence spatiale européenne (ESA) est la porte d'entrée de l'Europe dans l'espace. Sa mission est de façonner le développement des capacités spatiales de l'Europe et de veiller à ce que les investissements dans l'espace continuent d'apporter des avantages aux citoyens d'Europe et du monde.

L'ESA est une organisation internationale comptant 22 États membres. En coordonnant les ressources financières et intellectuelles de ses membres, elle peut entreprendre des programmes et des activités qui dépassent largement le cadre d'un seul pays européen.

Le Fonds français pour l'environnement mondial (FFEM) finance des projets innovants en faveur de l’environnement dans les pays en développement. Il soutient des initiatives à même de générer localement des bénéfices environnementaux, sociaux et économiques. Créé en 1994 par le gouvernement français à la suite du premier Sommet de la Terre, il a déjà permis de soutenir 333 projets dans plus de 120 pays, dont les deux tiers en Afrique.

Les projets soutenus par le FFEM ont pour but de préserver la biodiversité, le climat, les eaux internationales, les terres, la couche d'ozone, et de lutter contre les pollutions chimiques. Le FFEM tire des enseignements de ces projets-pilotes pour que les solutions les plus efficaces puissent être déployées dans d’autres lieux ou à plus grande echelle.

Deutsche Gesellschaft für Internationale Zusammenarbeit (GIZ) offre un large éventail de services aux gouvernements, aux entreprises, aux institutions internationales et aux fondations privées. Leurs clients profitent de leur savoir-faire éprouvé en matière de gestion et de leur longue expérience internationale dans plus de 100 domaines différents. Dans l'intérêt de nos clients, ils s'engagent à respecter les normes de transparence et de responsabilité, démontrant ainsi leur efficacité, leur rentabilité et leur crédibilité

Le groupe Agence française de développement (AFD) finance, accompagne et accélère les transitions vers un monde plus juste et durable.
Climat, biodiversité, paix, éducation, urbanisme, santé, gouvernance… : nos équipes sont engagées dans plus de 4000 projets dans les Outre-mer et 115 pays. Nous contribuons ainsi à l’engagement de la France et des Français en faveur des Objectifs de développement durable (ODD).

La Facilité de soutien aux contributions nationales déterminées (CND) est un fond d'affectation spéciale multidonateur qui a été créé et conçu pour faciliter la mise en œuvre de la contribution déterminée au niveau national (CDN) promise en 2015 par les pays signataires de l'Accord de Paris. Les activités sont mises en œuvre en étroite coordination avec le processus d'engagement national du Partenariat des CDN, une coalition mondiale croissante de pays développés et en développement et d'institutions internationales, y compris le Groupe de la Banque mondiale, qui travaillent ensemble pour mobiliser un appui financier et technique afin de réaliser des objectifs climatiques ambitieux et renforcer le développement durable

L'etablissement mondial pour la réduction des catastrophes et le recouvrement (GFDRR) est un partenariat mondial qui aide les pays en voie de développement à mieux comprendre et à réduire leur vulnérabilité aux risques naturels et aux changements climatiques. L'etablissement est un mécanisme de subventionnement, géré par la Banque mondiale, qui soutient des projets de gestion des risques de catastrophe dans le monde entier. Travaillant sur le terrain avec plus de 400 partenaires locaux, nationaux, régionaux et internationaux, le GFDRRR fournit connaissances, financement et assistance technique

Le Fond mondial pour les infrastructures (GIF) est un partenariat entre les gouvernements, les banques multilatérales de développement, les investisseurs du secteur privé et les financiers. Il est conçu pour offrir une nouvelle façon de collaborer à la préparation, à la structuration et à la mise en œuvre de projets complexes qu'aucune institution ne pourrait gérer elle seule. L'appui global au projet fourni par le GIF s'appuie sur l'expertise combinée de ses partenaires techniques et consultatifs. Ce groupe, qui comprend des banques commerciales et des investisseurs institutionnels, veille à ce que les projets d'infrastructure bien structurés et bancables soient mis sur le marché de manière à répondre de façon durable aux besoins des gouvernements et des utilisateurs de services. Les partenaires financiers versent des contributions financières au fond Mondial pour les infrastructures

La richesse et évaluation des services écosystémiques est un partenariat mondial dirigé par la Banque mondiale qui vise à promouvoir le développement durable en veillant à ce que les ressources naturelles soient intégrées dans la planification du développement et les comptes économiques nationaux. Ce partenariat mondial réunit une large coalition d'agences des Nations Unies, de gouvernements, d'instituts internationaux, d'organisations non gouvernementales et d'universitaires pour mettre en œuvre la comptabilité du capital naturel (NCA) là où il existe des normes internationalement reconnues, et développer des approches pour d'autres comptes de services écosystémiques. En travaillant avec les banques centrales et les ministères de la planification et des finances du monde entier pour intégrer les ressources naturelles dans la planification du développement par le biais du NCA, nous espérons permettre une prise de décision plus éclairée qui puisse assurer une véritable croissance verte et des progrès à long terme en matière de richesse et de bien-être humain

SFI travaille avec le secteur privé dans les pays en développement afin de contribuer à créer des opportunités pour tous. Membre du Groupe de la Banque mondiale, SFI est la plus importante institution mondiale d’aide au développement dont les activités concernent exclusivement le secteur privé dans les pays en développement. IFC utilise et mobilise ses produits et services, ainsi que ceux des autres institutions du Groupe, afin d’apporter des solutions de développement adaptées aux besoins de ses clients. Ses ressources financières, son expertise technique, son expérience mondiale et sa culture de l’innovation lui permettent d’aider ses partenaires à surmonter leurs difficultés financières, opérationnelles ou politiques

Avec 189 États membres, des collaborateurs issus de plus de 170 pays et plus de 130 antennes à travers le monde, le Groupe de la Banque mondiale est composé de cinq institutions œuvrant de concert à la recherche de solutions durables pour réduire la pauvreté et favoriser le partage de la prospérité. Le Groupe de la Banque mondiale est l’une des principales sources de financement et de savoir pour les pays en développement. Il se compose de cinq institutions engagées en faveur de la réduction de la pauvreté, d’un plus grand partage de la prospérité et de la promotion d’un développement durable.

Le Fond de partenariat entre la Corée et la Banque mondiale (KWPF), créé en mai 2013, est une initiative visant à renforcer les liens entre le ministère coréen de l'économie et des finances (MoEF) et le Groupe de la Banque mondiale (WBG). L'objectif général du mécanisme est d'aider les pays membres en voie de développement du Groupe de la Banque mondiale à réaliser une croissance économique inclusive et durable et de favoriser un dialogue plus large sur les questions de développement économique

Le Ghana est bordé par l'océan Atlantique et possède des frontières avec le Togo, la Côte d'Ivoire et le Burkina Faso. Sa population est d'environ 29,6 millions d'habitants (2018). Au cours des deux dernières décennies, le pays a fait de grands progrès vers la démocratie dans le cadre d'un système multipartite, et son système judiciaire indépendant a gagné la confiance du public. Le Ghana se classe régulièrement parmi les trois premiers pays africains en matière de liberté d'expression et de presse.

La Guinée-Bissau, l'un des pays les plus pauvres et les plus fragiles du monde, compte environ 1,9 million d'habitants. La Guinée-Bissau est bordée au nord par le Sénégal et au sud par la Guinée. La côte de l'océan Atlantique est composée de l'archipel des Bijagós, qui compte plus de 100 îles. Malgré sa taille, la Guinée-Bissau abrite une grande variété de groupes ethniques, de langues et de religions.

S'étendant sur 450 km le long du fleuve Gambie, le pays est entouré par le Sénégal, à l'exception d'une façade de 60 km sur l'océan Atlantique. Le pays est l'un des plus petits d'Afrique, avec une superficie d'environ 10,7 milliers de kilomètres carrés et une population de 2,5 millions d'habitants. Avec 176 habitants au kilomètre carré, c'est l'un des pays les plus densément peuplés d'Afrique. La majeure partie de la population (57 %) est concentrée dans les centres urbains et périurbains.

La Côte d’Ivoire enregistre une croissance économique dynamique, forte et stable depuis 2012 avec un ralentissement en 2020, dû aux conséquences de la crise de  COVID-19. 

L’économie béninoise dépend fortement du commerce informel de réexportation et de transit avec le Nigéria (estimé à environ 20 % du PIB) ainsi que de l’agriculture, notamment le coton, premier produit d’exportation.

Pays essentiellement désertique, la Mauritanie dispose de grandes étendues pastorales et de seulement 0,5 % de terres arables.

La République de Sao Tomé-et-Principe (STP) est un petit État insulaire en voie de développement, à revenu moyen inférieur, dont l'économie est fragile. 

Cela tient notamment à la forte croissance démographique (2,5 % par an) qui est plus rapide que les gains obtenus en matière de développement, à la concentration de la croissance économique  dans les secteurs modernes et au faible accès à des services de qualité.

Situé dans la partie la plus occidentale du continent, le Sénégal est bordé par la Mauritanie, le Mali, la Guinée et la Guinée-Bissau.

La convention fournit un cadre important à travers lequel les décideurs politiques nationaux et les gestionnaires des ressources mettent en œuvre des mesures nationales de contrôle dans la protection et le développement de l'environnement marin et côtier de l'Afrique de l'Ouest et du Centre.

La Convention d'Abidjan devrait jouer un rôle de premier plan dans l'orientation et le soutien de l'action environnementale pour la protection et le développement des zones côtières et marines grâce à des efforts concertés et à des activités auxquelles les gouvernements et les citoyens peuvent répondre de manière positive pour faciliter la gestion complexe des zones côtières.

Créée le 10 janvier 1994 à Dakar, l’Union économique et Monétaire Ouest Africaine (UEMOA) a pour objectif essentiel, l’édification, en Afrique de l’Ouest, d’un espace économique harmonisé et intégré, au sein duquel est assurée une totale liberté de circulation des personnes, des capitaux, des biens, des services et des facteurs de production, ainsi que la jouissance effective du droit d’exercice et d’établissement pour les professions libérales, de résidence pour les citoyens sur l’ensemble du territoire communautaire.

Huit Etats côtiers et sahéliens, liés par l’usage d’une monnaie commune, le FCFA et bénéficiant de traditions culturelles communes, composent l’UEMOA : le Bénin, le Burkina, la Côte d’Ivoire, la Guinée-Bissau, le Mali, le Niger, le Sénégal et le Togo. L’UEMOA couvre une superficie de 3 506 126 km2 et compte 120,2 millions d’habitants. Le taux de croissance du PIB, à prix constant, est de 6,7% en 2017.

Le CSE a pour mission de « contribuer à la connaissance et à la gestion durable des ressources naturelles et de l’environnement, par la production et la diffusion de produits et de services d’aide à la décision pour notamment l’Etat, les collectivités locales, le secteur privé, la société civile, les institutions de recherche et de développement, les organisations de producteurs et les partenaires au développement ». A ce titre, les interventions du CSE couvrent des domaines variés tels que l’appui à l’aménagement du territoire et à la gestion urbaine, le soutien scientifique et technique à la gestion durable des terres, l’appui à la gestion décentralisée des ressources naturelles, les évaluations environnementales et sociales, le suivi des efforts de lutte contre la pauvreté, l’appui à la lutte contre les changements climatiques.

L’Union internationale pour la conservation de la nature (UICN) est une union de Membres composée de gouvernements et d’organisations de la société civile. Elle offre aux organisations publiques, privées et non-gouvernementales les connaissances et les outils nécessaires pour que le progrès humain, le développement économique et la conservation de la nature se réalisent en harmonie.

La Confédération de l'industrie danoise (DI) est l'organisation d'entreprises et d'employeurs la plus importante, la plus représentative et la plus influente du Danemark. Elle couvre l'industrie manufacturière ainsi que les services dans des secteurs tels que les transports, l'énergie, les technologies de l'information, la santé, le commerce et les services professionnels

The Netherlands Water Partnership is a network of Dutch organisations in the water sector with international ambitions. NWP’s members include companies, government agencies, knowledge institutions and NGOs with one common goal - to join forces for sustainable water solutions worldwide.

L'ACECoR incitera l'Université de Cape Coast (UCC) à adopter une approche plus multidisciplinaire pour s'attaquer aux problèmes de dégradation des ressources côtières en renforçant la résilience des zones côtières, en particulier en Afrique occidentale et centrale, sur les plans biologiques et économiques. Une attention particulière sera accordée à l'amélioration de la recherche et de la formation des jeunes scientifiques et de la prochaine génération de professionnels africains, qui bénéficieront de bourses d'études, d'expériences industrielles basées sur des stages et la participation à des conférences. Le projet introduira des opportunités institutionnelles de post-docs et attirera des post-docs de la région, en particulier des pays francophones, avec une priorité pour les candidatures féminines.

Le Cerema (Centre d'études et d'expertise sur les risques, l'environnement, la mobilité et l'aménagement) est un établissement public tourné vers l’appui aux politiques publiques, placé sous la double tutelle du ministère de la transition écologique et solidaire et du ministère de la cohésion des territoires et des relations avec les collectivités territoriales. Le Cerema offer aussi l’expertise publique pour la transition écologique et la cohésion des territoires

L'Institut de recherche pour le développement est un organisme pluridisciplinaire reconnu internationalement, travaillant principalement en partenariat avec les pays méditerranéens et intertropicaux. L'IRD est un établissement public français placé sous la double tutelle des ministères de l’Enseignement supérieur, de la Recherche et de l’Innovation et de l’Europe et des Affaires Étrangères. Il porte, par son réseau et sa présence dans une cinquantaine de pays, une démarche originale de recherche, d’expertise, de formation et de partage des savoirs au bénéfice des territoires et pays qui font de la science et de l’innovation un des premiers leviers de leur développement

La CEDEAO a pour objectif de promouvoir la coopération économique et politique entre les Etats. Elle est à cet égard en phase avec l’Histoire dans la mesure où les Ouest-Africains, bien avant la colonisation, ont été parmi les populations les plus mobiles au monde même si l’essentiel de cette mobilité s’est effectuée au sein de la région. Environ 7,5 millions de migrants ouest-africains (3% de la population régionale) habitent dans des pays de la CEDEAO autre que le leur. Les 1,2 million d’autres migrants sont principalement en Europe et en Amérique du Nord. Les femmes, dont le nombre a été estimé en 2013 à environ 149 millions, constituent plus de 50% de la population de la région. La migration à travers les frontières, effectuée par les femmes dans le cadre de leurs activités commerciales, fait de celles-ci des chantres potentiels de l’intégration, mais cela n’est pas encore une réalité.

Le Programme pour la Biodiversité et le Changement Climatique en Afrique de l’Ouest (WA BiCC) est un programme d’apprentissage s’étalant sur cinq ans, financé par l’Agence des États-Unis pour le Développement International (USAID), qui vise à améliorer la conservation et le développement à faibles émissions et résilient au climat dans l’ensemble de l’Afrique de l’Ouest. De portée et de conception régionales, WA BiCC cible des zones géographiques précises dans la région afin d’améliorer la gouvernance et les politiques régissant des systèmes naturels et humains critiques. Travaillant en collaboration avec des partenaires régionaux clés dont ; la Communauté Économique des États de l’Afrique de l’Ouest (CEDEAO), l’Union du Fleuve Mano (UFM) et la Convention d’Abidjan, ainsi que des institutions nationales et infranationales ciblées, WA BiCC cherche à renforcer la capacité des institutions à tous les niveaux afin de prendre en compte les thématiques des trois composantes clés du WA BiCC que sont la lutte contre le trafic des espèces sauvages, l’amélioration de la résilience côtière au changement climatique et la réduction de la déforestation, de la dégradation de la forêt, et de la perte de biodiversité.